lundi, février 20, 2006

Thomas Lélu


est né en 1976 à Seclun. Il a publié Le Manuel de la photo ratée (Al Dante/Éditions Léo Scheer, 2002), Récréations (Éditions Léo Scheer, 2003), La Rumeur des espaces négatifs (avec Laure Limongi, Éditions Léo Scheer, 2005) & Je m'appelle Jeanne Mass (Éditions Léo Scheer, 2005).
{Photo Vincent Sannier}

mercredi, février 15, 2006

Nathalie Quintane


est née en 1964. Après une période surréaliste assez intense entre 1980 et 1983, une ère dunkerquoise quasi désertique entre 1985 et 1990, une parenthèse erratique et lisboète en 1990-91, et deux années absolument horribles dans la campagne angevine (1992-93), elle se rend enfin à l'évidence. S'en suivent la publication en rafale d'une dizaine d'ouvrages, essentiellement publiés chez P.O.L. (le prochain paraîtra en avril 2006), une masse à présent incalculable de lectures publiques, d'abondantes collaborations à de non moins abondantes revues, quelques participations à de marquantes entreprises (avec Xavier Boussiron - et Stéphane Bérard - cf. Progressistes, al dante, 2002), et la promotion incessante de Raymond Federman.

mercredi, février 08, 2006

Moketor & Superfutur


Collectif de musiciens, vivant à Paris.

Blog

mardi, février 07, 2006

Fat Punky



Artiste, vit à Paris.

Blog

lundi, février 06, 2006

Georges Hassoméris



N’AYEZ PAS PEUR, C’&ST UN A&DE !

Georges Hassomeris : A&de cacophonique méta/Grec & crypto/Dada (Ou bien &st/Ce Met’ec crypto/Ionien & méta/Dada ? ... C’&st selon ! G/H pratique indifféremment divers modes de livraison de la pensée/ Poëme ; ceux qui lui sont propres (Invectives, déboulonnades, vers de rouge &tc.), comme ceux que recoupe la « nébuleuse poësie/ Action » à laquelle il participe, censément é-margé, hors des poncifs génériques - comme d’autres le furent avant lui, tels John Giorno, Guillermo Gomez/Pena, &tc. &tc. &tc. - Lecture/Performance donc, voire performance tout court... (Souvent de type comportemental), lecture simple, fausse conférence mais encore collages, revuisme, fax/Art &tc. G/H, naguère punk anarcho/Stalinien (L’un des deux termes n’&st plus valable) pratique le détournement & l’entrisme (The DADA OF TROIE way of life...) avec une habileté éprouvée au contact des compagnons de route les plus divers : poëtes, livreuses de pizza, cheminots, privés d’emploi, diaspora grecque, métallos, bonzes, infirmières Ψ, Papes, astronomes, barmaids fatales &tc., toutes & tous éminents fou/Fau/Teurs de t/Roubles. En somme, & à défaut d’&tre claire (Dionysos veille !), la praxis de G/H prend source à l’intersection de l’Ionie matérialiste (Ephèse & la cité de Téos, dont il &st originaire) & de la philosophie/Action propre aux Cyniques. Son écriture procède essentiellement par rapprochements, liaisons, articulations qui sont autant d’éléments périodiques constitutifs d’une base rythmique à la conjonction du souffle, de la logique & d’éléments
sémio/Graphiques perturbateurs. Cette écriture ne cesse par ailleurs de prendre appui sur la texture & la volumétrie des boucles textuelles qu’elle constitue. L’ensemble s’apparente à des exégèses historico/Bordélico/Poétiques, ayant toutes comme déclencheur l’un des fragments d’Héraclite l’Obscur, aux développements illimités. Tout s’y élabore en termes de ritournelles. G/H le pas Clair reste fidèle à la dialectique marxiste roborative & aux enchaînements socio/Politiques de haute lutte - à découper au Laser. G/H pratique l’excès : excès grapho/Maniaques, corporels, verbaux, politiques, comportementaux... G/H &st ce que l’on nomme communément un électron libre ; ça fait du bien, en particulier à la poësie... Bref, il &st urgent d’écouter/Voir G/H en performance, avec casque de chantier, lunettes fumées, paire de jumelles, collier de gros pétards (Assez gros pour ne pas &tre inoffensifs !), badgé des pieds à la tête, débiter avec l’accent grec sa dernière traduction en rap, en huron, en latin, en braille ou en morse de « l’Hymne de sainte Eulalie. »
Les sérieux-qui-leurrent s’abstiendront.

Cyrille BRET

Blog « Saint Eulalie’s not dead »

Blog « Hors d’Œuvre d’Art

vendredi, février 03, 2006

Yoann Trellu


Né le 2 janvier 1976 à Châteaubriant en Loire Atlantique (France).
« De formation médico-scientifique, je me suis progressivement intéressé à l'art au cours des années. La photographie a été mon premier medium, la vidéo arrivant très naturellement comme une extension des possibilités offertes par l'image fixe.
Mon travaille vidéographique s'oriente globalement selon deux axes :
- La déformation/modification d'une réalité.
- La composition géométrique d'une image.
J'aime l'idée d'une narration graphique et je crois qu'il est réellement possible de faire passer des sentiments, des sensations, par le biais de mouvements de formes abstraites.
Je n'utilise cependant pas tellement d'images de synthèse puisque la réalité me semble contenir déjà (presque) tout ce dont j'ai besoin. Je m’intéresse également à l'influence d'autres media sur la vidéo, c'est pourquoi je travaille régulièrement sur des performances/spectacles en collaboration avec des musiciens, des danseurs, des écrivains.
Parallèlement, je développe des logiciels personnalisés permettant d'adapter la vidéo aux conditions variées dans lesquelles je suis amené à me produire. Je travaille actuellement à la production d'un DVD regroupant une sélection de vidéos courtes. Chacune d'entre elles pourra être associée à cinq bandes-son différentes, ce qui permettra d’avoir cinq lectures de la même vidéo. Les bandes-son sont crées en collaboration avec de nombreux musiciens. L’installation est aussi un support que j’utilise, je travaille d’ailleurs en ce moment à l’élaboration de deux logiciels dédiés. »

Site
Blog

mercredi, février 01, 2006

Claude Royet-Journoud


a publié :

Aux Editions Gallimard :
Le renversement, 1972
La notion d'obstacle, 1978
Les objets contiennent l'infini, 1983
Les natures indivisibles, 1997

Peinture/dessin :
Bonhomme Bonhomme avec TITI PARANT, Le Bout des Bordes/Obliques, 1980
"...Reusement!", Manicle, 1983
Laque sur Polaroïd (suivi de Compact pour Claude par Dominique Fourcade), Michel Chandeigne, 1996